12 juillet 1997 à Montréal dans le Westmont
Ils criaient, jacassaient comme des pies et brisait les tympans de l'institutrice et du chauffeur qui était rouge comme une tomate à cause de la température élevée de l'extérieur malgré que sa fenêtre soit ouverte. Par cette journée de trente degré, le soleil fusillait les hommes sans merci et faisait que les jeunes enfants de troisième année soient hyperactifs sur ce pont menant à la sortis d'une grande Piscine que tout enfant rêvait. Assit à l'arrière, un enfant aux cheveux châtains foncé et aux yeux bleu virant vers le pers perçant, se leva et alla vers la professeur -qui avait depuis longtemps perdu le contrôle de sa classe -qui était assit à l'avant près de la porte du bus.. James s'assit à côté de cette dernière et lui parla de sa voix la plus agaçante et aigu.
-Madame Sydney quant est-ce qu'on arrive?
-Bientôt James, bientôt...Patiente encore un peu..
-Mais c'est...
-J'AI DIT DE PATIENTER ET RETOURNE À TA PLACE ! ! ! D'AILLEURS, JE VEUX QUE TOUT LE MONDE CE TAISE MAINTENANT ! ! ! SINON SANCTION EN ARRIVANT À LA PISCINE!! Cria-t-elle de sa voix la plus forte.
Le silence ce fit sans réplique et James se rassit à sa place à l'arrière. Marabout, il avait les bras croisés sur son petit torse gonflé de colère et regardait le sol d'un regard plein de haine. Les pensées volant dans sa tête, se croyant en train de voler dans les airs pour se calmer les nerfs. Ce fut un cri dune élève qui le ramena dans la réalité. C'était une petite fille, Sofiane, en avant qui avait rompu le silence malgré l'avertissement de la femme qui dirigeait la classe et qui se dirigea à son tour vers une fenêtre intrigué par les dires de son élève.
-Regarder, regarde....On vole...Dit la petite fille de sa voix émerveillé.
N'y croyant pas, James se dépêcha de coller le front et le visage à la vitre pour voir si c'était vrai et il s'imaginait déjà aller plus haut. Il se rappela alors une chose qu'il avait entendu à des nouvelles du soir à la télé un samedi soir pendant que sa mère et son père regardait la télé. Les mutants savaient faire ça, en y réfléchissant c'était peut-être lui qui faisait. Il frissonna d'excitation à cette pensée. Il se rassit pendant que les autres avaient le visage collé aux fenêtres comme une gomme collée à un soulier. Et James, sous l'excitation, prit une grande respiration et souffla devant lui sur le banc comme si le vent à l'extérieur allait souffler. Alors, pour son grand désarroi, un vent sortant de nulle part frappa le bus volant le faisant tournoyer dans les airs et le faire piquer vers la mer par la suite, car celui qui contrôlait tout ça, avait perdu le contrôle de lui-même à la bourrasse qui le fit cogner la tête contre son ami et faillit le faire sombrer dans l'inconscience.
Dehors, des policiers, des pompiers et des passants regardaient la scène avec peur dans le visage. Voyant que les enfants piquaient vers le sol et qu'il ne pouvait rien faire, ce fut un choc qui fit plus pleurer plus d'un. Surtout que cette scène venait de commencer à passer en direct à la télé et les parents qui savaient que leur enfant était en sortis pleuraient comme des bébés s'imaginant le pire si leur enfant était dans cet autobus.
Quant à James, il pleurait, car il se sentait coupable de cette situation. Il tournoyait avec les autres élèves et il ne comprenait pas ce qu'il arrivait. Il croyait que c'était un jeu, mais tout le monde criait autour de lui. Il se cogna la tête contre banc et il se mit à saigner, une ou deux secondes et plus rien. La scène ce refit quand le bus rencontra l'eau de plein fouet brisant la vitre d'en avant, il se coupa à la jambe, mais plus rien.. Le chauffeur inconscient, la professeur de même et les élèves aussi, il se tenait là, sur un banc en train de flotter et essayait de comprendre. Toutefois, une chose l'intriguait, malgré que l'eau se soit légèrement infiltrer, il ne coulait pas, comme si l'air faisait flotter le bus briser. Finalement, James qui venait d'arrêter de pleurer. Il se coucha sur un banc et attendit les yeux ouverts. Les secours arrivèrent quelques minutes étonnées par cette situation et il n'eut aucun mort, seulement des blessés...
[Et voilà, j'ai fait un peu plus que 20 lignes.... Mais en tout cas... C'est fait est-ce correcte?]